Confédération Africaine de Surf
Rabat 25/11/2017 (MAP) – Le président de la Fédération royale marocaine de surf, Mohamed Kadmiri, a été élu président de la Confédération africaine de la discipline, au cours de l’Assemblée générale constitutive tenue samedi à Rabat.
Par la même occasion, le Sud-Africain Johny Bakker a été élu premier vice-président et le Sénégalais Omar Sye deuxième vice-président alors que les postes de secrétaire général du bureau exécutif de la fédération et de trésorier sont revenus respectivement au Marocain Amine Affaf et au Sénégalais Alexander Alcantara.
En présence des représentants des fédérations sud-africaine, ivoirienne, sénégalaise, cap-verdienne, malgache et marocaine, il a été également procédé à l’approbation du statut de la Confédération et à la présentation des quatre comités de travail (technique, de développement, d’organisation, de formation et socio-environnemental.
M. Kadmiri s’est dit fier et honoré de cette élection.
“Mon élection au poste de président de la Confédérations africaine de surf est un honneur pour le Maroc, pays doté de moyens logistiques et techniques lui permettant d’organiser des événements de taille”, a-t-il dit.
Le Royaume accorde un intérêt particulier aux différents pays du continent, conformément à la politique clairvoyante de SM le Roi Mohammed VI, a ajouté M. Kadmiri.
Dans une déclaration à la MAP, il a souligné que la mise en place de la confédération africaine de surfrevêt une importance capitale, en ce sens qu’elle permet aux Fédérations membres de travailler dans un cadre institutionnalisé.
Cela permettra de soutenir et de fournir l’aide nécessaire à plus de 30 pays africains non encore dotés de fédérations, afin de développer et promouvoir cette discipline dans le continent”, a-t-il conclu.
De son côté, M. Sye a fait savoir que la mise en place de cette Confédération intervient au “bon moment”.
“Comme tous les autres continents, l’Afrique vient de se doter d’une Confédération”, s’est félicité le président de la Fédération sénégalaise, mettant en avant la nécessité de présenter l’aide nécessaire aux pays qui n’ont pas de moyens suffisants pour former des talents à même de mieux représenter le continent aux événements internationaux.
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